Psychothérapie d’enfants

En tant que psychopraticienne, j’accompagne les enfants et les adolescents en psychothérapie individuelle.

Je vous présente ici, les spécificités du cadre de la psychothérapie d’enfants tel que je l’instaure au sein de mon cabinet.

Pour quelles raisons consulter ?

 

Être parents est un rôle parfois difficile quelque soit l’âge des enfants.

Certaines situations peuvent se présenter à vous, en tant que parents et vous vous sentez peut-être dépassés. Vous ne savez plus quoi faire et comment faire, quoi dire ? ou ne pas dire pour ne pas envenimer une situation relationnelle tendue avec votre enfant ?

Reconnaître que vous avez besoin de vous faire aider est une première étape et est légitime, en tant que parents, pour traverser une période donnée dans la vie de votre enfant.

Demander de l’aide est parfois nécessaire pour vous permettre de :

– retrouver de l’apaisement dans la relation avec votre enfant,

– mettre des mots sur ce qui est vécu par l’enfant et

– mettre des mots sur ce que vous vivez en tant que parents dans une situation spécifique et dans la relation avec votre enfant.

Choisir de se faire aider est courageux.

C’est une première étape pour faire évoluer une situation parfois source de souffrance, d’insatisfaction, de tensions, voir de conflit, dans votre famille.

Je pratique la psychothérapie pour enfants, au sein de mon cabinet, à Saint Genis Laval.

Les types de situations rencontrés

Les situations sur lesquelles je suis amenées à accompagner des enfants et leurs parents sont variées. En voici quelques exemples :

 – Difficultés émotionnelles de l’enfant ou de l’adolescent

– Manque d’estime de soi, de confiance en soi de l’enfant ou de l’adolescent

– Sentiment d’ennui, de vide

– Pensées suicidaires

– Événements familiaux : séparations, divorces, déménagements, conflits, naissance d’un bébé dans la famille, décès, etc…

– Violences conjugales, intrafamiliales, violences sexuelles

– Période de la pré-adolescence, de l’adolescence

– Agitation de l’enfant

– Événements scolaires  : harcèlement scolaire

 

Comment la psychothérapie d’enfants peut aider ?

Au sein de mon cabinet de psychothérapie, situé 1 allée de Chazelles à Saint Genis Laval, je réalise des accompagnements auprès des enfants, adolescents et leurs parents, en psychothérapie individuelle. Mon travail en tant que psychopraticienne consiste dans la psychothérapie d’enfants, à :

– Ecouter de manière empathique les enfants et leurs parents au sujet de la situation vécue

– Comprendre quels effets la situation vécue ont eu sur l’ enfant, sur l’adolescent ; sur ses pensées, ses sentiments, comportements et relations avec les autres 

– Comprendre quels effets la situation vécue ont eu sur les parents, sur leurs pensées, leurs sentiments, leurs comportements et relations avec les autres 

– Retrouver l’espoir de se sentir mieux même si l’enfant / l’adolescent, sa famille, souffre actuellement

– Élaborer avec l’enfant, l’adolescent, ses parents sur de nouvelles manières d’être et de faire, suite à cette situation douloureuse vécue

FAQ

Quel est le socle de la psychothérapie d'enfants ?

La psychothérapie d’enfants comporte trois piliers fondamentaux à respecter à la fois du côté des parents, de la psychopraticienne et de l’enfant / adolescent :

1/ La régularité des séances : Je m’accorde avec les parents, sur la fréquence des séances, l’organisation, les horaires en fonction de mes disponibilités et du planning de l’enfant.

2/ La confidentialité des séances : Aucune restitution sur le contenu des séances que je réalise avec l’enfant ou l’adolescent, n’est faite auprès des parents, de manière à soutenir la liberté psychique de ce qui se dira dans l’espace thérapeutique et dans la relation thérapeutique.

3/ L’association des idées : il est permit à l’enfant et à l’adolescent de dire tout ce qui lui passe par la tête durant les séances de psychothérapie. Il est possible de parler de ses rêves, de ce qui le traverse quand cela le traverse.

Quel est le rythme des séances, dans la psychothérapie d'enfants

Dans la psychothérapie d’enfants, le rythme des séances est le suivant :

 Une première séance au cours de laquelle je reçois les parents et leur enfant ou adolescent. Si un seul des parents est présent, j’ai besoin de l’accord écrit : e-mail, courrier, du second parent pour pouvoir confirmer l’accompagnement psychothérapeutique de l’enfant / de l’adolescent.

Sauf situation familiale particulière : lorsque l’autorité de l’un des parents, sur l’enfant a été retirée au parent, par décision de justice. Dans ce cas de figure, j’ai besoin que le parent m’envoie la copie de décision de justice.

Cinq séances avec l’enfant/l’adolescent uniquement

Puis à nouveau une séance avec l’enfant et ses parents

Puis selon la difficulté rencontrée et l’évolution de l’accompagnement, je réitère les cinq séances et ainsi de suite : une séance parents/enfants et cinq séances avec l’enfant jusqu’à ce que le contrat psychothérapeutique de départ soit atteint.  

Quelle est la durée des séances dans la psychothérapie d'enfants ?

La durée des séances est la suivante :

Séance parents et enfant : 45 minutes

Séance avec un enfant : 30 minutes.

Séance avec un adolescent à partir de 14 ans : 45 minutes

Quel est le tarif des séances ?

Mes honoraires sont les suivants :

Séance 45 minutes : 65 euros

Séance 30 minutes : 50 euros

Séance parent-enfant/adolescent 60 minutes : 70 euros

Quel est le cadre législatif concernant le secret professionnel dans le cadre de la psychothérapie d'enfants ?

La révélation d’une information à caractère secret par une personne qui en est dépositaire soit par état ou par profession, soit en raison d’une fonction ou d’une mission temporaire, est punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende.

Article 226-14

Version en vigueur depuis le 02 décembre 2021

 

L’article 226-13 n’est pas applicable dans les cas où la loi impose ou autorise la révélation du secret. En outre, il n’est pas applicable :

1° A celui qui informe les autorités judiciaires, médicales ou administratives de privations ou de sévices, y compris lorsqu’il s’agit d’atteintes ou mutilations sexuelles, dont il a eu connaissance et qui ont été infligées à un mineur ou à une personne qui n’est pas en mesure de se protéger en raison de son âge ou de son incapacité physique ou psychique ;

2° Au médecin ou à tout autre professionnel de santé qui, avec l’accord de la victime, porte à la connaissance du procureur de la République ou de la cellule de recueil, de traitement et d’évaluation des informations préoccupantes relatives aux mineurs en danger ou qui risquent de l’être, mentionnée au deuxième alinéa de l’article L. 226-3 du code de l’action sociale et des familles, les sévices ou privations qu’il a constatés, sur le plan physique ou psychique, dans l’exercice de sa profession et qui lui permettent de présumer que des violences physiques, sexuelles ou psychiques de toute nature ont été commises. Lorsque la victime est un mineur ou une personne qui n’est pas en mesure de se protéger en raison de son âge ou de son incapacité physique ou psychique, son accord n’est pas nécessaire ;

3° Au médecin ou à tout autre professionnel de santé qui porte à la connaissance du procureur de la République une information relative à des violences exercées au sein du couple relevant de l’article 132-80 du présent code, lorsqu’il estime en conscience que ces violences mettent la vie de la victime majeure en danger immédiat et que celle-ci n’est pas en mesure de se protéger en raison de la contrainte morale résultant de l’emprise exercée par l’auteur des violences. Le médecin ou le professionnel de santé doit s’efforcer d’obtenir l’accord de la victime majeure ; en cas d’impossibilité d’obtenir cet accord, il doit l’informer du signalement fait au procureur de la République ;

4° Aux professionnels de la santé ou de l’action sociale qui informent le préfet et, à Paris, le préfet de police du caractère dangereux pour elles-mêmes ou pour autrui des personnes qui les consultent et dont ils savent qu’elles détiennent une arme ou qu’elles ont manifesté leur intention d’en acquérir une ;

5° Au vétérinaire qui porte à la connaissance du procureur de la République toute information relative à des sévices graves, à un acte de cruauté ou à une atteinte sexuelle sur un animal mentionnés aux articles 521-1 et 521-1-1 et toute information relative à des mauvais traitements sur un animal, constatés dans le cadre de son exercice professionnel. Cette information ne lève pas l’obligation du vétérinaire sanitaire prévue à l’article L. 203-6 du code rural et de la pêche maritime.

Le signalement aux autorités compétentes effectué dans les conditions prévues au présent article ne peut engager la responsabilité civile, pénale ou disciplinaire de son auteur, sauf s’il est établi qu’il n’a pas agi de bonne foi.

 

 

Que faire dans un cas de violence intrafamiliale ?

Le Département recueille et traite toutes les informations préoccupantes signalées concernant des enfants en danger ou en risque de danger.

Une information préoccupante est constituée d’éléments susceptibles de laisser craindre qu’un mineur se trouve en situation de danger. Il peut s’agir de faits observés, de propos entendus, d’inquiétude sur le comportement d’un mineur ou à l’égard du mineur. Chaque citoyen doit signaler la situation d’un enfant victime de maltraitance ou en danger, ou si il y a une suspicion de danger.

Afin de transmettre cette information préoccupante, la Cellule de Recueil des Informations Préoccupantes (CRIP) du Département ou la Maison du Rhône du lieu de domicile de l’enfant doivent être alertés.

Site du département du Rhône

Pour signaler un enfant en danger ou risque de danger, vous pouvez contacter, de manière anonyme ou non, le Conseil Départemental, par formulaire de contact, courrier (enfance-endanger@rhone.fr), téléphone, ou en vous rendant en Maison du Rhône .

Qu'est-ce que la violence éducative ordinaire (V.E.O) ?
A partir de quel âge est-ce possible d'amener son enfant en consultation psychothérapeutique ?

Je reçois des enfants dès leur première année de vie, en présence des parents ou de l’un des parents avec l’accord du second parent. Je ne peux pas recevoir l’enfant si je n’ai pas l’accord préalable des deux parents.
Pour réaliser des consultations uniquement avec l’enfant, de mon expérience à partir des deux ans de l’enfant je peux accueillir l’enfant en démarrant au préalable plusieurs séances en présence de l’un ou des deux parents. Je travaille à partir de supports dont je dispose au cabinet, pour amener l’enfant à s’exprimer différemment que par le dialogue : pâte à modeler, dessin, cartes, puzzles…

Services

Psychothérapie individuelle

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Contact

06 51 58 63 97

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1, Allée de Chazelles

69230 Saint Genis Laval

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